Pourquoi entreprendre ?

Avant de se poser la question du « Pourquoi entreprendre », il faut déjà bien comprendre ce que signifie être entrepreneur. Être entrepreneur, c’est créer sa propre entreprise, donc créer son propre emploi, être son propre patron, et il existe de nombreuses manières de le faire.

En effet, entreprendre peut être une aventure excitante et gratifiante pour plusieurs raisons. . En tant qu’entrepreneur, tu as la possibilité de prendre des décisions, de relever des défis et de voir ton travail se concrétiser. Cela peut aussi t’offrir une liberté professionnelle et financière que tu pourrais ne pas avoir dans un emploi salarié.

En fin de compte, entreprendre peut-être une expérience enrichissante qui te permet de développer tes compétences, de t’épanouir professionnellement et de laisser une empreinte positive dans le monde.

De plus, l’entrepreneuriat peut te permettre de contribuer positivement à la vie sociale en offrant des solutions innovantes et en créant des emplois. C’est une opportunité de croissance personnelle, de développement de compétences et de réalisation de tes ambitions. En somme, entreprendre te donne la possibilité de façonner ton propre chemin et d’avoir un impact positif.

Ainsi, le Groupe TAATAAN est là pour accompagner et conseiller les entrepreneurs à chaque étape de leur parcours entrepreneuriale.

Notre objectif est de les aider à réaliser leurs projets en mettant à leur disposition notre expertise et notre soutien continu.

l’expérience et l’expertise sont au rendez-vous pour faire de vous des champions !

Contactez-nous au 77 184 39 39 ou au 33 870 54 54 ou encore nous écrire à l’adresse mail suivant : contact@taataan.sn

 

 

 

 

 Quel est le but fondamental de l’entrepreneuriat ?

Pour la plupart des entrepreneurs qui se lancent, le goût d’entreprendre est motivé par la volonté d’être acteur de sa vie, de pouvoir goûter au plaisir de la liberté et de l’autonomie.

En effet, l’entrepreneuriat c’est le fait d’entreprendre et de développer un projet. Dans le domaine des affaires, on utilise ce terme pour désigner la création d’une activité économique dans le but de répondre à un besoin ou d’atteindre un objectif spécifique.

Cependant, L’essence même de l’entrepreneuriat réside dans le fait de créer et développer des entreprises en mettant en œuvre des idées novatrices pour répondre aux besoins du marché. Les entrepreneurs cherchent à apporter de la valeur, à résoudre des problèmes et à créer des opportunités économiques.

En somme, l’entrepreneuriat vise à stimuler la croissance économique, à favoriser l’innovation et à créer des emplois. C’est une démarche dynamique et créative qui contribue à façonner l’économie et la société.

Ainsi le Groupe Taataan se positionne en tant que guide et partenaire pour aider les entrepreneurs à réaliser leurs rêves. Détenteur d’une grande expérience dans le domaine, nous accompagnons les entrepreneurs à surmonter les défis auxquels ils font face ; que ce soit pour élaborer une stratégie commerciale percutante, développer leurs compétences ou simplement obtenir des conseils pratiques, nous sommes présents à chaque étape du parcours.

Rejoignez-nous dans cette aventure excitante où l’innovation rencontre l’audace, où les idées prennent vie et où ensemble, nous façonnons un avenir prometteur pour tous !

Contactez-nous au 77 184 39 39 ou au  33 870 54 54 ou encore nous écrire à l’adresse mail suivant : contact@taataan.sn

 

C’est quoi l’entrepreneuriat ?
L’entrepreneuriat, c’est quand tu crées et gères ta propre entreprise. C’est être un aventurier des affaires, prêt à prendre des risques et à saisir les opportunités. Les entrepreneurs sont des personnes créatives et audacieuses qui innovent, développent des idées et construisent des entreprises prospères.
En effet, l’entrepreneuriat est un moyen également pour les individus de réaliser leurs rêves, de créer des emplois et de contribuer à l’économie. Que ce soit au Sénégal ou ailleurs, il offre des opportunités de croissance et d’innovation. De plus, l’entrepreneuriat peut avoir un impact positif sur la société en apportant des solutions aux problèmes locaux, en favorisant le développement durable et en encourageant l’autonomie économique.
Par ailleurs, il est important de noter aussi que l’entrepreneuriat comporte également des défis. Les entrepreneurs doivent faire face à la concurrence, aux risques financiers, aux obstacles réglementaires et à d’autres difficultés, mais avec une vision claire, une planification solide et une détermination, les entrepreneurs peuvent surmonter ces défis et réaliser leurs objectifs.
En d’autres termes, l’entrepreneuriat joue un rôle essentiel dans la création d’emplois, l’innovation et la résolution des problèmes.
Et à cet effet, le Groupe Taataan grâce à son expérience et son expertise dans le domaine du développement économique territorial, accompagne les entrepreneurs dans leur parcours entrepreneurial, en leur offrant des services et des conseils spécialisés mais également à concrétiser leurs idées, à développer leurs compétences et à surmonter les défis auxquels ils sont confrontés. Notre Groupe vous aide à réussir et à prospérer dans le monde des affaires en continuant à vous inspirer et à vous guider vers le succès.
Pour tous vos besoins en accompagnement, merci de nous contacter au 77 184 39 39 ou au 33 870 54 54 ou encore nous écrire à l’adresse mail suivant : contact@taataan.sn

La commune de Labgar se situe au  nord de la région de Louga, dans le département de Linguère et dans l’arrondissement de Dodji. Elle s’étend sur une superficie de 866 km² et elle compte 15.000 habitants.

En effet, Labgar engendre une économie fondée essentiellement sur la base de secteurs biens définis. Quant à sa position géographique, la commune de Labgar est une zone sylvo-pastorale qui requiert d’immense potentialité en matière de ressources naturelles. Ses principaux secteurs économiques sont l’élevage, l’agriculture, le commerce, le tourisme ainsi que les mines et l’industrie.

Le maire de la commune de Labgar M. Idrissa Amadou Diop, est un consultant, formateur freelance de profession. Il est l’actuel président du conseil de surveillance de l’agence sénégalaise de la reforestation et de la grande muraille verte.

Par ailleurs, la commune de Labgar fait partie des trente 30 communes ayant bénéficié du projet de soutien des initiatives de Développement de l’Emploi au niveau Local ( PSIDEL)  mis en place par le Programme National de Développement Local et exécuté par le Groupe TAATAAN qui a aidé la commune à la création du Bureau Économique Local ( BEL), la mise en place de la base de donnée du développement économique local (BADEL) et a formé quatre 4 jeunes développeurs économiques territoriaux (JDET) comme spécialistes dans les métiers du développement économiques territorial que sont (1) Gestion et valorisation du patrimoine communal, (2) Mobilisation des ressources financières et financement du développement territorial (3), Gestion de l’information territoriale, (4)  Animation économique et gestion de projets.

A cet effet, le Groupe TAATAAN, dans le cadre de sa mission de contribution à la promotion du développement économique territorial à travers son programme de formation dénommé « Programme Jeune développeur économique territorial » (P-JDET), et le Programme National de Développement Local (PNDL), ont mis en synergie et mutualisé leurs forces pour la prise en charge de la formation professionnalisante de cent vingt (120) jeunes diplômés de l’enseignement supérieur dans différents métiers du développement économique territorial.

Pour la commune de Labgar les quatre (4) jeunes développeurs économiques territoriaux qui ont terminé le parcours  sont :

Hachime Sy, technicien en entretien voirie, topographie. Il a effectué un stage à AGEROUTE et à SOCETRA avant d’obtenir un emploi au niveau CRSG SENEGAL.

En  spécialisation  en animation économique et gestion de projets, M. Sy a choisi comme projet en rapport avec les autorités de sa commune, ‘’l’ouverture d’une boulangerie moderne’’. La réalisation de ce projet permettrait de former les jeunes de Labgar sur ce métier moderne et ainsi participer à la question de l’emploi des jeunes.

Abou Diop est le deuxième JDET de la commune, diplômé d’une licence en informatique à l’ISI de Dakar. Spécialisé en gestion de l’information territoriale.

Oumar Amadou Sy a obtenu une licence en sciences économiques et de gestion, spécialisé en Management des petites et moyennes organisations. Il est spécialisé dans le programme JDET en mobilisation des ressources financières et financement du développement territorial.

Comme projet communal, il a choisi, ‘’ la construction d’un marché permanent’’. La réussite de ce projet permettra à la commune d’augmenter ses recettes, de satisfaire les besoins de la population ainsi que les passagers.

Enfin le quatrième et dernier sur la liste M. Samba Gadjiga, diplomé d’une licence en droit des affaires à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.

Comme spécialisation, il a opté pour la gestion et valorisation du patrimoine de la commune.

Il a porté le choix de son projet sur, ‘’ la mise en place d’un marché de poissons’’. Cela facilitera aux populations, selon Samba, l’accès à des produits de la mer en bonne qualité avec des prix très accessible et raisonnable pour tous.

Avec la priorité accordée à l’emploi des jeunes par l’État, le Groupe TAATAAN entend contribuer, avec une approche territorialisée de l’emploi, à l’insertion des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur à travers des parcours de spécialisations dans les métiers émergents du développement économique territorial, afin de leur permettre de participer activement au développement des territoires.

 

 

 

 

La commune de Diembéring est située dans la région de Ziguinchor, au sud-ouest du Sénégal. Elle constitue l’extrémité du territoire Sénégalais sur la côte sud-ouest atlantique frontalière avec la Guinée-Bissau (région de Ziguinchor, département d’Oussouye, arrondissement de Cabrousse).

En effet, la commune est limitée à l’est par les communes de Santhiaba Manjack, Oukout et Mlomp, à l’ouest par l’océan atlantique, au nord par l’estuaire de la Casamance et au sud par la région de Cacheu (République de Guinée-Bissau).

Les fondateurs des premiers villages de la commune seraient originaires de la République de Guinée-Bissau (Varela Yale) et de la région de Thiès (Nguéniène). À l’exception du Cap Skirring créé dans les années 1970, tous les villages datent d’avant la colonisation. Il est généralement admis que les villages les plus anciens sont Boucotte Diola (Étameboudiale), Bouyouye, Cabrousse Kadiakaye et Diembéring (Djuwatt). Les premiers habitants auraient été attirés par la présence de terres fertiles favorables à l’agriculture.

En 1836, le premier comptoir est créé à Carabane qui devient la première capitale administrative de la Casamance du 22 janvier 1836 à 1904, avant Sédhiou et Ziguinchor.

En 1978, on assiste à la création de la communauté rurale de Diembéring. Ce n’est qu’en 2013, avec l’avènement de l’Acte III de la décentralisation que Diembéring a été érigée en commune de plein exercice. La commune compte 21 villages administratifs (dont 04 îles et 03 presqu’îles) qui sont pour la plupart des quartiers des anciens villages traditionnels.

Elle occupe une position privilégiée le long de la côte atlantique, ce qui lui confère des atouts naturels et économiques remarquables. Elle est caractérisée par un paysage diversifié, allant des plages de sable fin aux mangroves luxuriantes en passant par des collines verdoyantes. Cette variété de paysages offre un cadre naturel magnifique et propice à la biodiversité.

Selon l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), la population de la commune de Diembéring est estimée à 30000 habitants en 2023, répartie sur une superficie de 237 Km². Diembéring est  donc la commune la plus peuplée du département d’Oussouye.

Le mouvement de la population est fortement lié à l’activité touristique. Durant la période touristique, qui s’étend de Décembre à Avril en général, on constate plus qu’un doublement de la population du village de Cap Skirring. On rencontre une population constituée de toutes les ethnies du Sénégal et beaucoup de ressortissants de la sous-région.

Ces migrants s’activent dans les petits commerces, et dans les petits boulots liés au tourisme. Aujourd’hui, en raison de son attrait touristique, la commune de Diembéring, fait l’objet d’une spéculation foncière sauf au niveau des îles. La collectivité connait un flux migratoire important qui, en période touristique, augmente considérablement sa population actuelle.

L’économie de la commune de Diembéring repose principalement sur l’agriculture, la pêche, l’élevage et le tourisme. Les activités agricoles incluent la culture de produits tels que le riz, le mil et le maïs. La pêche est également un secteur vital pour la communauté locale, compte tenu de la proximité de l’océan Atlantique.

Avec plus de 30 km de façade maritime et des îles, détenant l’une des plus belles plages d’Afrique de l’Ouest, la commune de Diembéring représente l’une des plus importantes destinations du Sénégal. Le patrimoine culturel est composé des bois sacrés, des fétiches, des monuments (Eglise de Carabane) et des sites historiques (les lieux de passage du saint EL Hadji Omar TALL et le puit-mare d’Aline Sitöé DIATTA).

Le Maire de la commune de Diembéring, Léopold Abba DIATTA âgé de 48 ans, est natif de Cabrousse, village de sa majesté Aline Sitöé DIATTA.

Après l’obtention du BAC en 1993 au lycée Djignabo de Ziguinchor, il est admis à l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar où il a obtenu sa maîtrise en Droit des Affaires en 1999. Il a ensuite intégré l’Ecole Nationale d’Administration (ENA), Section Inspection du Trésor de 2001 à 2003.

Léopold Abba DIATTA a eu un parcours professionnel remarquable. Il a été mandataire du Trésorier payeur régional de Fatick de 2004 à 2005. Il est ensuite devenu chef du bureau de la comptabilité de la trésorerie générale de 2005 à 2010, puis Mandataire du Trésorier général au niveau du Central du Trésor de 2010 à 2013 et Fondé de pouvoir Trésorier général au niveau du Central du Trésor de 2013 à 2015 avant d’être Caissier général de la Caisse des Dépôts et Consignation (CDC) depuis le 17 novembre 2015.

Ce parcours lui a permis d’obtenir le « Certificate of Completion and 10.0 CEVs for the GOOD GOUVERNANCE EXECUTIVE LEADERSHIP PROGRAM », délivré par le Centre d’excellence en leadership public de l’Université George Washington (USA) le 13 septembre 2022.

Léopold Abba DIATTA est entré en politique sous le parti Alliance Pour la République (APR) le 13 Janvier 2019. Soucieux du développement socioéconomique de sa localité, M. DIATTA se présente aux élections locales du 23 janvier 2022 sous le parti UCS (Union centriste du Sénégal) après l’investiture de l’ancien maire par son propre parti l’APR. Il remporte les élections et devient le premier magistrat de la commune de Diembéring. Il est installé le 10 février 2022.

Par ailleurs, la commune de Diembéring fait partie des trente 30 communes ayant bénéficié du projet de soutien des initiatives de Développement de l’Emploi au niveau Local ( PSIDEL)  mis en place par le Programme National de Développement Local et exécuté par l’Association Sénégalaise d’Appui à la Décentralisation et aux incitatives Citoyennes (ASADIC-TAATAAN) qui a aidé la commune à la création du Bureau Économique Local ( BEL), la mise en place de la base de donnée du développement économique local (BADEL) et a formé quatre 4 jeunes développeurs économiques territoriaux (JDET) comme spécialistes dans les métiers du développement économiques territorial que sont (1) Gestion et valorisation du patrimoine communal, (2) Mobilisation des ressources financières et financement du développement territorial (3), Gestion de l’information territoriale, (4)  Animation économique et gestion de projets.

A cet effet, ASADIC-TAATAAN, dans le cadre de sa mission de contribution à la promotion du développement économique territorial à travers son programme de formation dénommé « Programme Jeune développeur économique territorial » (P-JDET), et le Programme National de Développement Local (PNDL), ont mis en synergie et mutualisé leurs forces pour la prise en charge de la formation professionnalisante de cent vingt (120) jeunes diplômés de l’enseignement supérieur dans différents métiers du développement économique territorial.

Pour la commune de Diembéring les quatre 3 jeunes développeurs économiques territoriaux qui ont terminé le parcours  sont :

Mme Marie Giselle DIATTA née le 10 février 1994 à Cabrousse, titulaire d’un baccalauréat en 2012 au lycée de Cabrousse, elle a poursuivi ses études supérieures à l’Université Assane SECK de Ziguinchor où elle a obtenu sa licence en Droit des Affaires en 2017,  et son Master 1 en 2018 en Droit Privé. Elle a pu valider également le premier semestre du Master 2 en Doit Privé en 2020.

Marie Giselle a été facilitatrice au niveau de l’école élémentaire de Cabrousse 1 en collaboration avec l’USAID PASSERELLE de 2022 à 2023. Enquêtrice au niveau de la Commune de Diembéring en juin 2022 pour le Projet de l’assainissement intégré de la commune de Diembéring avec le GRET en collaboration avec la Mairie de Diembéring.

En spécialisation en gestion et la valorisation du patrimoine communal, elle a grâce au programme JDET, effectué un stage trois (03) mois (Novembre-janvier) au niveau de la Mairie de Diembéring dans le bureau du foncier.  Actuellement, elle est recrutée à la Mairie de Diembéring en tant que chargée de la gestion et la valorisation du patrimoine communal de Diembéring mais s’occupe aussi du foncier.

Comme projet communal Giselle a choisi : « la gestion de la gare routière au niveau de Cap Skirring ». Le choix de ce projet est d’une importance capitale pour la Commune de Diembéring dans la mesure où Diembéring ne dispose pas de gare routière au niveau de Cap Skirring.

Mamadou Dian DIALLO qui est le second JDET,  est né le 07 Mai 1995 à Cap Erukène. Après l’obtention de son baccalauréat en Sciences Expérimentales (S2) en 2015 au lycée de Cabrousse, il a été orienté en Sciences Économiques et de Gestion à l’Université Assane SECK de Ziguinchor où il a obtenu sa licence en Analyse et Politiques Économiques en 2018.

Il s’est ensuite inscrit en Master Finance et Développement, spécialité évaluation d’Impact des Politiques de Développement dans la même université où il a validé tous ses semestres sans soutenir le mémoire de Master, de 2019 à 2021.

Son parcours académique et professionnel reflète son profond intérêt pour les enjeux économiques et sociaux auxquels font face nos sociétés en développement. Sa formation en Analyse et Politique Économique lui a offert une base solide pour comprendre les mécanismes économiques et les dynamiques qui sous-tendent les choix politiques.

Il a eu l’opportunité d’appliquer ses connaissances et compétences en travaillant en tant qu’agent enquêteur à l’Agence Nationale des Statistiques et de la Démographie (ANSD) (Décembre 2021) dans le cadre de l’évaluation d’impact socioéconomique du projet de réhabilitation de la RN4 et le désenclavement des zones du sud sur l’axe Sénoba-Mpack, ainsi qu’au sein de l’ONG GRET (Juin 2022) dans le cadre du Projet pour l’Assainissement Intégré de Diembéring. Ces expériences lui ont permis de développer des compétences essentielles en collecte et en analyse de données, ainsi qu’une compréhension concrète des réalités sur le terrain.

Grâce au parcours JDET, Dian a pu se spécialiser en Animation Économique et Gestion de projets. Ce qui lui a permis, au moment des phases de diagnostic et de connaissance du territoire, d’effectuer un stage de cinq mois (novembre 2022 – avril 2023), au sein de la mairie de Diembéring, dans la division de la planification et des compétences transférées, avant d’être engagé en tant qu’agent de bureau dans la même division et être nommé comme animateur économique de référence sous la recommandation de l’ancien AER qui est en même temps le chef de la division de la planification et des compétences transférées.

Pour son projet communal, il a orienté son choix vers un projet de développement économique territorial intitulé : « Appui à la formalisation des acteurs commerciaux du tourisme ». Le choix de ce projet se justifie par le fait que la commune de Diembéring soit la première destination touristique en Casamance grâce à ces variétés culturelles et sa belle station balnéaire. Il est important de savoir que cette commune compte officiellement 17 hôtels et villages de vacances, 19 campements et auberges privés et 12 bars restaurants tous formels. Malgré ce nombre important d’entreprises touristiques, un bon nombre non énuméré sont informels et un nombre important de guides touristiques ne sont pas des professionnels.

Pour M. Diallo, la professionnalisation des guides et la formalisation des entreprises liées au tourisme seraient une énorme valeur ajoutée pour ce secteur dans la commune de Diembéring, que ce soit en ressources humaines ou en ressources financières.

Le troisième JDET sur la liste de Diembéring est M. Mitterand Gassy DIATTA, né le 04 Novembre 1994 à Cabrousse.

Il est doté d’une solide formation académique en Finance et Comptabilité, il est titulaire d’un Master professionnel en Finance -Comptabilité à l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest -Unité Universitaire à Ziguinchor (UCAO/UUZ) en 2020, après une licence Pro sur la même filière en 2016.

Au cours de son Parcours Académique, M. DIATTA a acquis une expérience approfondie dans les domaines de la Finance et de la Comptabilité, préparant ainsi le terrain pour sa carrière ultérieure.

Son expérience professionnelle diversifiée se reflète à travers une série de stages réalisés dans différentes organisations. Parmi lesquelles  on peut citer le Centre Hospitalier Régional de Ziguinchor (CHRZ) plus précisément à la Division des Finance en 2016, l’administration Municipale de Ziguinchor au sein de la Division des Recettes en 2018 et le Centre de Gestion Agrée de Ziguinchor (C.G.A) agence Cap-Skirring en 2020. Ces expériences lui ont permis de se familiariser avec des environnements de travail variés et d’acquérir une compréhension pratique des opérations au sein de ces institutions.

DIATTA a occupé plusieurs postes de responsabilité au cours de sa carrière. Il a exercé en tant que comptable au sein de Moussou Boissons S.A.S, une entreprise basée à Cap-Skirring de 2020 à 2022. Il a ensuite rejoint l’équipe de MR Ziguinchor (Cercle de Machine Régional), dans le cadre du programme d’Appui à la Mécanisation Agricole et au Développement des Cercles de Machines au Sénégal en tant que Gestionnaire Comptable, où il a continué à mettre en pratique ses compétences comptables.

Le programme JDET a permis à M. DIATTA d’intégrer la municipalité de sa commune sous forme d’un stage qu’il a bien réussi. A ce jour, il est Assistant au Chef de la Division de l’Administration Générale et des Finances, Chargé des Finances.

Spécialisé en Mobilisation des Ressources Financières et Financement du Développement Économique Territorial, ses travaux ont porté sur : la recherche de stratégies globales de mobilisation des ressources financières. C’est l’occasion pour lui, avoue-t-il, de mettre en place des leviers stratégiques concrètes, et qui soient efficaces à la fois de mobilisation des ressources financières propres et externes. La mise en  œuvre de ces actions stratégiques permettra à la commune d’améliorer ses recouvrements en vue de stabiliser et d’accroitre son épargne communale, mais également de mobiliser et valoriser d’avantages les ressources financières classiques et innovantes. Pour en ensuite installer une démarche de cofinancement par des Partenariats Publics -Privés ce qui favorise une mobilisation progressives des ressources locales et un renforcement du budget de la collectivité.

 

 

Bakel est une commune du Sénégal oriental, située à proximité des frontières avec la Mauritanie et le Mali. C’est est la capitale départementale qui se trouve dans la région de Tambacounda et est à 687 km de Dakar (capitale du Sénégal).

Bakel se situe à l’est du Sénégal dans la zone soudano-sahélienne et sa population est estimée à environ 16000 habitants. Mais également au long du fleuve Sénégal, au milieu de buttes rocheuses, avec un climat très chaud et aride, et le sable très présent. Trois grandes unités géomorphologiques recouvrent le territoire du département :

  • les plateaux du continental terminal (correspondant aux 2/3 ouest du département),
  • la zone de socle (correspondant au tiers est du département)
  • les alluvions des vallées du Sénégal et de la Falémé (à la frontière est du département). Ces grandes unités déterminent de façon très nette les potentialités de mise en valeur du département.

En effet, les localités les plus proches de la commune de Bakel sont : Korera, Lekselba, Boutanda, Alahina, Bema, Moribougou, Diaguili, Koungani et Tourime.

En outre, lla commune de Bakel est le centre économique d’une vaste zone géographique. En effet la vallée constitue une zone privilégiée pour les aménagements hydro agricoles. Dans cette commune, plus de la moitié de la population active s’adonne aux activités traditionnelles ; ce qui confère à la ville un caractère rural urbain. L’agriculture et l’élevage demeurent ainsi les principales activités économiques de la commune. Il y a aussi d’autres activités économiques comme le commerce, la pêche, artisanat etc.

Érigée en commune depuis 1960, Bakel compte un organe exécutif dirigé par le Maire M. Ibrahima Baba SALL né le 01 Août 1956 à Kanel. Instituteur de profession, il était adjoint au maire lors du régime d’Abdoulaye Wade. Il est à la tête de la commune de 2014 à nos jours. Il est à son second mandat.

Ibrahima Baba SALL est député-maire de Bakel et par ailleurs député de la CEDEAO. Il est également le président des réseaux des maires transfrontaliers. Récemment, il a été élu ce 8 juin 2023 comme le 1er vice-président de l’Assemblée National. Edile de la commune de Bakel, SALL fait partie des brillants maires au Sénégal. Il est un maire travailleur et engagé qui a beaucoup participé au développement de sa commune.

Par ailleurs, la commune de Bakel fait partie des trente 30 communes ayant bénéficié du projet de soutien des initiatives de Développement de l’Emploi au niveau Local ( PSIDEL)  mis en place par le Programme National de Développement Local et exécuté par l’Association Sénégalaise d’Appui à la Décentralisation et aux incitatives Citoyennes (ASADIC-TAATAAN) qui a aidé la commune à la création du Bureau Économique Local ( BEL), la mise en place de la base de donnée du développement économique local (BADEL) et a formé quatre 4 jeunes développeurs économiques territoriaux (JDET) comme spécialistes dans les métiers du développement économiques territorial que sont (1) Gestion et valorisation du patrimoine communal, (2) Mobilisation des ressources financières et financement du développement territorial (3), Gestion de l’information territoriale, (4)  Animation économique et gestion de projets.

A cet effet, ASADIC-TAATAAN, dans le cadre de sa mission de contribution à la promotion du développement économique territorial à travers son programme de formation dénommé « Programme Jeune développeur économique territorial » (P-JDET), et le Programme National de Développement Local (PNDL), ont mis en synergie et mutualisé leurs forces pour la prise en charge de la formation professionnalisante de cent vingt (120) jeunes diplômés de l’enseignement supérieur dans différents métiers du développement économique territorial.

Pour la commune de Bakel les quatre 4 jeunes développeurs économiques territoriaux choisis sont ;

Hamo CAMARA titulaire d’un master en droit public, spécialiste en Droit et Administration des collectivités territoriales a l’UASZ. Hamo a effectué des formations en commande publique au niveau de l’Autorité de la Régulation de la Commande Publique, et a participé également à la 13eme session à Dakar sur l’environnement et droit international de droit de l’homme.

Le JDET a également effectué deux stages dont un à la municipalité de Bakel en qualité d’agent de la finance locale, et un autre stage dans la région de Tambacounda au service régional d’appui au développement local comme assistant administratif et financier.

En spécialisation en mobilisation des ressources financières et financement du développement territorial, CAMARA  a choisi de centrer ses travaux sur la recherche d’un outil de paiement électronique des impôts locaux. Le choix de ce projet se justifie par le fait que la commune se retrouve avec énormément de ressources mais peine toujours avec les problèmes de recouvrement. L’étude d’un tel titre du projet permet de recouvrir et de sécuriser la recette fiscale locale par un paiement électronique (digitalisation des paiements). Ce paiement électronique des impôts locaux permettra d’éviter l’évasion fiscale.

Mme Mariame COULIBALY, deuxième JDET de la commune de Bakel, est  titulaire d’un master en banque finance conformité et gestion des risques. Spécialisée en gestion de l’information territoriale, Mariame a choisi comme projet communal, la création d’un site web comme portail d’information sur la commune. Le choix de ce projet se justifie par le fait que Bakel est une commune très développée en matière d’agriculture, de commerce et d’élevage et la réussite de ce projet pourra attirer des partenaires pour financer les secteurs productifs de la commune.

Le troisième JDET choisi se nomme M. Abdoulaye BA, titulaire d’une licence en littérature et civilisation anglaise à l’UCAD. Il a effectué un stage dans la municipalité en tant qu’apprenti gestionnaire.

Ba a choisi de se spécialiser en gestion et valorisation du patrimoine communal. Son projet communal porte sur la réflexion sur un mode d’organisation et de gestion du marché central de Bakel. En effet, d’après l’étude de Abdoulaye, le marché central de Bakel est confronté à une situation de manque d’espace causé par l’occupation de la voie publique par le secteur informel, les transports tels que les camions, les motos taxis et les pousse-pousse. De ce fait, la réussite de ce projet facilitera l’échange et la libre circulation des biens et des personnes.

Le dernier sur la liste est M. Mamadou DRAME,  titulaire d’une licence de Géographie option physique à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et d’un master 1 en Management de l’environnement à l’Institut Supérieur de Développement Local (I.S.D.L). Il a effectué un stage rural au niveau de la commune de Koungheul et plus récemment un autre stage à la mairie de Bakel à la finance locale. Il est copropriétaire d’une agence de prestations de service créée depuis 2016.

Spécialisé en animation économique et gestion de projets, DRAME a choisi comme projet en relation avec les autorités communale ; « la relance de la riziculture dans la commune de Bakel », entrant dans le cadre de la structuration d’une filière de chaine de valeur.

En effet, La commune de Bakel située sur la vallée du fleuve Sénégal avait bénéficié du financement de l’État sénégalais et ses partenaires (le fonds koweïtien) qui lui a permis de se doter des hectares de surface aménagées au niveau du « Foloboula ». Ce qui avait permis à la population de cultiver du riz de contre saison mais ce phénomène  est en déclin depuis quelques années due à de multiples facteurs. Pour la mise en œuvre de ce projet selon Mamadou, il est impératif de mettre l’accent sur ces trois (3) aspects fondamentaux : réhabiliter le périmètre pour avoir des aménagements hydro-agricoles qui correspondent à la texture du sol ; cimenter les canaux pour un bon drainage des eaux et organiser les producteurs autour de l’exploitation qui permettra de faciliter un bon accès aux intrants agricoles de qualité à temps.

Avec la priorité accordée à l’emploi des jeunes par l’État, ASADIC-TAATAAN entend contribuer, avec une approche territorialisée de l’emploi, à l’insertion des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur à travers des parcours de spécialisations dans les métiers émergents du développement économique territorial, afin de leur permettre de participer activement au développement des territoires.

 

 

 

 

 

 

 

Contribuer à l’insertion durable des jeunes diplômés dans le marché de l’emploi pour des économies territoriales performantes est l’objectif principal du programme ‘’Jeune Développeur Économique Territorial’’ (P-JDET), initié par le Groupe Taataan.

Nos collectivités territoriales  ont  besoin d’un leadership local affirmé, mais également de professionnels capables de traduire les idées en dynamiques concrètes de développement.

Convaincu du fait que le chantier reste encore très vaste pour l’exploitation des potentialités des territoires, le Groupe Taataan  s’est inscrit dans une démarche de consolider l’action publique par son ancrage dans les territoires articulés aux spécificités et aux dynamiques locales.

Cela s’est traduit concrètement par l’introduction du programme de formation des ‘’Jeunes Développeurs Économiques Territoriaux (JDET) dans le dispositif de l’animation économique territoriale. Ledit programme tire sa légitimité dans le fait de répondre à l’impératif de doter les collectivités territoriales en ressources humaines de qualité et promouvoir l’ingénierie territoriale afin de densifier le tissu économique des collectivités territoriales.

C’est ce qui explique également l’intégration du programme JDET dans le Projet de Soutien aux Initiatives de Développement de l’Emploi au niveau Local (PSIDEL) initié par le Programme National de Développement Local (PNDL), à travers un partenariat avec le Groupe Taataan  et la Fondation Konrad Adenauer Stiftung (FKA).

Après la première session d’information sur les modalités de mise en œuvre du PSIDEL, la deuxième étape du parcours qu’est la phase Immersion a été marquée par l’introduction des JDET au niveau de leurs communes respectives pour un stage pratique d’immersion d’un (1) mois, ensuite la troisième étape du parcours a été marquée par la phase Spécialisation. L’objectif de celle-ci est de  doter les jeunes de nouveaux domaines de compétences pratiques qui leur aideront à élaborer et développer leurs projets professionnels.

A présent, il est question d’évaluer le parcours de professionnalisation notamment la dernière étape qui est la rédaction des projets individuels de spécialisation, d’où la tenue d’un atelier qui a démarré ce 22 Septembre 2023 aux Résidences Mamoune à Dakar.

L’objectif général de cette session  est double ; il s’agit d’une part de faire un point de situation sur les documents de projets de spécialisation des JDET et leur faisabilité au profit des collectivités concernées et, d’autre part, d’informer les participants sur les prochaines missions qui leur seront confiées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du Groupe Taataan pour le CAP 2025.

Rapprocher les jeunes diplômés de l’enseignement supérieur de la gestion des collectivités territoriales au travers des parcours de professionnalisation aux métiers du développement économique territorial est la mission du Programme dénommé “Jeune développeur économique territorial” initié par le Groupe Taataan.

Après la phase Spécialisation des Jeunes Développeurs Économiques Territoriaux (JDET) qui s’est déroulée en Mars 2023 au Grand Théâtre National Doudou NDIAYE Coumba Rose, le Groupe Taataan organise à partir du 22 Septembre 2023 au Résidences Mamounes sur la VDN, un atelier d’évaluation du parcours de professionnalisation notamment la dernière étape qui est  la rédaction des projets individuels de spécialisation.

En effet, la rencontre permettra de fixer les modalités de bouclage du parcours de professionnalisation, autrement dit, indiquer aux JDET les activités à mener pour la clôture de leur parcours.

L’objectif général de cet atelier est d’une part de faire un point de situation sur les documents de projets de spécialisation des JDET et leur faisabilité au profit des collectivités concernées et, d’autre part, d’informer les participants sur les prochaines missions qui leur seront confiées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du Groupe ASADIC-TAATAAN pour le CAP 2025.

De manière spécifique, la présente rencontre permettra de :
– procéder à une analyse rapide des projets soumis par les JDET ;
– étudier les voies et moyens de leur réalisation par les communes ;
– informer les participants sur le programme d’activités du Groupe ASADIC-TAATAN dans le cadre du Cap 2025;
– échanger sur l’implication des JDET dans la mise en œuvre des activités programmées par le Groupe ASADIC-TAATAAN dans le cadre du Cap 2025.

Pour que nos collectivités territoriales puissent s’affirmer comme le lieu par excellence où peuvent émerger des dynamiques endogènes permettant d’asseoir des territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable, il est nécessaire de mettre en place des projets territoriaux pour un développement de chaînes de valeur notamment agricoles, de valoriser les potentialités locales, de promouvoir la mobilisation de ressources additionnelles et de mener une démarche de marketing territorial.

Pour ce faire, une maitrise de l’information économique territoriale s’avère être un préalable.

Face à ce constat, le Groupe Taataan, dans le cadre de sa mission de contribution à la promotion du développement économique territorial, expérimente depuis 2019, un dispositif dénommé Bureau Économique Local (BEL), dans neuf (9) communes pilotes, en collaboration avec la Fondation Konrad ADENAUER (FKA).

Puis en Décembre 2021, le Programme National de Développement Local (PNDL), convaincu de la pertinence du BEL s’est engagé à son tour à amplifier les acquis de cet outil d’animation économique au travers du lancement de l’initiative dénommée Projet de Soutien aux Initiatives de Développement de l’Emploi au niveau Local (PSIDEL). L’objectif dudit projet était  d’étendre le dispositif BEL dans trente (30) communes réparties dans les quatorze (14) régions du Sénégal, en collaboration avec les Agences Régionales de Développement (ARD), et avec l’appui méthodologique du Groupe Taataan.

La valeur ajoutée du BEL réside dans la structuration de la demande locale en vue de l’insertion des jeunes et des femmes porteurs d’initiatives économiques. Il répond également aux préoccupations majeures des collectivités territoriales en misant sur la valorisation des potentialités et ressources des territoires.

Au niveau des bureaux économiques locaux (BEL), les animateurs économiques de référence (AER) mènent des activités de soutien et d’animation de  l’économie locale à travers la base de données de l’économie locale (BADEL). Dans ladite BADEL sont inscrits les porteurs d’initiatives économiques (PIE) en spécifiant leurs besoins spécifiques en formation, formalisation et fiscalité, ainsi dans les domaines de l’accès au foncier et au financement.

En effet, l’objectif général de l’activité est d’offrir aux acteurs économiques des territoires des opportunités d’échanges, de renforcement mutuel et de partenariats économiques en même d’asseoir les bases d’une coopération entre les collectivités territoriales partenaires du Groupe Taataan.

En somme, il s’agit pour nos territoires, de mener des actions concrètes pour l’accessibilité aux opportunités d’emplois grâce une politique de développement économique territorial mobilisant tous les acteurs autour des objectifs de développement, en plus de projets innovants pour les territoires dans le cadre d’une vision concertée de développement économique local.

 

 

 

Le Groupe Taataan apporte son soutien méthodologique aux collectivités territoriales dans l’accompagnement des PME portées notamment par des jeunes et des femmes.

Pour répondre à sa mission d’animation économique locale et d’appui aux collectivités territoriales, le Groupe Taataan, a accompagné la mise en place du dispositif d’animation économique dénommé Bureau Économique Local (BEL), géré et animé par un Animateur Économique de Référence (AER) à travers la Base de Données de l’Économie Locale (BADEL).

Aujourd’hui, grâce à l’inscription des porteurs d’initiatives économiques locales dans la Base de Données de l’Économie Locale (BADEL) installée au sein des BEL, les collectivités territoriales ont une bonne maitrise de l’information territoriale.

Pour confirmer son positionnement auprès des collectivités partenaires, via les Bureaux Économiques Locaux (BEL), le Groupe Taataan organise pour deux (2) jours à Thiès un atelier de mise à niveau des Animateurs Économiques de Référence (AER) sur les objectifs du Groupe (Cap 2025), notamment le développement des territoires, la structuration des chaînes de valeurs des filières porteuses, mais aussi sur la méthodologie de préparation des Porteurs d’Initiatives Économiques Locales (PIEL) inscrits dans la Base de Données de l’Économie Locale (BADEL).

Cet atelier est un prélude des rencontres régionales sur l’économie territoriale que le Groupe Taataan envisage d’organiser très prochainement en collaboration avec la Fondation Konrad ADENAEUR (FKA) et les collectivités territoriales partenaires. L’objectif est de faire émerger un portefeuille de PME rentables, créatrices d’emplois, à fort impact social et soucieuses  de la préservation de l’environnement.

En effet, ces deux (2) journées d’échange et de partage permettent de doter les Animateurs Économiques Référents (AER) d’outils pertinents de maturation de projets et d’accompagnement des entreprises locales.

À l’issue des échanges, il s’agit plus spécifiquement de s’accorder sur la structuration et la montée en puissance des bureaux économiques locaux afin de stabiliser les processus d’accompagnement et d’animation économique.

Ainsi, les Porteurs d’Initiatives Économiques locales (PIEL) se verront accompagner convenablement par le Bureau Économique Local (BEL) sous la houlette de l’Animateur Économique de Référence (AER) dans le but de faire émerger des projets structurants dans les filières porteuses capables de densifier le tissu économique local.

La cérémonie d’ouverture est présidée par Monsieur Oumar WADE, Président du Groupe Taataan, en présence de Monsieur Cheikh Abdou LO, coordonnateur de TAATAAN-Académie, de Monsieur Cheikhou Oumar FAYE, Secrétaire Exécutif du Groupe Taataan, et des Animateurs Économiques de Référence venus des différentes communes partenaires.