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Monsieur Mamadou BALDE, jeune développeur économique territorial (JDET), en spécialisation en gestion du patrimoine et partenariat public-privé, dans la commune de Bagadadji (KOLDA)

actualité, News

Monsieur Mamadou BALDE est un jeune développeur économique territorial (JDET), en phase de spécialisation dans les métiers du développement économique territorial. Il est rattaché à la commune de Bagadadji, dans la région de Kolda, partenaire de l’Association Sénégalaise d’Appui à la Décentralisation et aux Initiatives Citoyennes (ASADIC-TAATAAN).

BALDE a obtenu un baccalauréat en série G en 2014 au Lycée technique de Kolda, puis, une licence en sciences économiques et de gestion (SEG), à l’UVS (université virtuelle du Sénégal).

De par son engagement pour la quête du savoir, Mamadou a participé à la quinzaine régionale de l’entrepreneuriat agricole à Sow runch dans la région de Kolda, et aussi à plusieurs autres sessions de formation notamment en gestion des relations avec la clientèle.

Mamadou est aussi subi une formation en management des petites et moyennes organisations et est également entrepreneur apicole, membre fondateur du GIE, ‘’mon Abeille, mon Or’’.

Cette expérience lui a permis d’occuper le poste de formateur assistant en entrepreneuriat et gestion d’entreprises au cabinet Elite Consulting de Kolda. En même temps, BALDE a effectué un stage de deux (2) mois au Programme d’Appui au Développement Economique de la Casamance (PADEC).

En 2019, M. Mamadou BALDE a intégré la première cohorte du programme de formation des jeunes développeurs économiques territoriaux (JDET), une initiative de ASADIC-TAATAAN, pour soutenir les collectivités territoriales en l’occurrence les communes à se doter de ressources humaines de qualité afin de mieux assurer leur mission d’impulsion du développement local.

Dans le cadre du programme JDET, M. BALDE a, avec ses camarades, réalisé la cartographie des différents secteurs d’activité de la commune de Bagadadji.

En spécialisation dans le métier de gestion du patrimoine et partenariat public-privé, le jeune koldois a, lors des votes du budget participatif, fait le tour des différentes zones (les foras de zones) pour recueillir les doléances des populations.

Ainsi, grâce à son statut de JDET, il a participé par ailleurs à des forums organisés par des programmes comme cawolor, et en ce moment, il appui l’animateur économique référent (AER) du bureau économique local (BEL) de Bagadadji, M. Amadou BALDE, dans le processus d’inscription des porteurs de projet dans la base de données de l’économie local (BADEL). En plus, il assiste chaque année les nouveaux bacheliers dans leur processus d’orientation,

Enfin, M. Mamadou BALDE dirige présentement un centre multi-service spécialisé dans le transfert d’argent, la photocopie, l’impression, le traitement de texte, la reliure, la plastification, la vente de téléphones portable et matériels électroniques, ainsi que la vente de fournitures scolaires.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

6 septembre 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/09/balde.jpg 540 960 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-09-06 11:15:412021-09-06 11:15:41Monsieur Mamadou BALDE, jeune développeur économique territorial (JDET), en spécialisation en gestion du patrimoine et partenariat public-privé, dans la commune de Bagadadji (KOLDA)

Le Maire et ses Attributions

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Le maire et ses attributions

Le maire est une personne physique représentant l’autorité municipale, chef ou représentant du pouvoir exécutif au niveau communal.  Il était jusqu’alors  élu indirectement par le conseil municipal pour exécuter les décisions du conseil, représenter la commune et exécuter sous l’autorité du préfet des fonctions d’agent du pouvoir central. La réforme du code électoral issue du dialogue national voudrait que dorénavant, le maire soit directement élus au suffrage universel.

Le maire est à la fois agent de l’État et agent de la commune en tant que collectivité territoriale. Ainsi, les pouvoirs et devoirs du maire, en tant que premier magistrat de la commune, sont notamment définis par le Code général des collectivités territoriales (CGCT) :

  • le maire doit respecter et faire respecter la loi et de veiller au maintien de l’ordre public dans sa commune ;
  • le maire doit se mettre au service de l’intérêt général ;
  • Le maire doit représenter tous les habitants de sa commune, sans exception et sans distinction ;

Le maire bénéficie d’une “double casquette”. Il agit au nom de la commune en tant que collectivité territoriale mais il agit aussi au nom de l’État dans certaines fonctions administratives et judiciaires.

Dans sa commune, le maire est chargé de remplir, au nom de l’État sous l’autorité du préfet ou du procureur de la République, certaines fonctions administratives et judiciaires :

  • sous l’autorité du préfet, le maire procède à la publication des lois et règlements, à l’organisation des élections, à la légalisation des signatures ;
  • sous l’autorité du procureur de la République, le maire est officier d’état civil et officier de police judiciaire.

Et en tant que chef de l’organe exécutif de la commune :

  • le maire est chargé de l’exécution des décisions du conseil municipal et agit sous contrôle de ce dernier. Il représente la commune en justice, passe les marchés, signe des contrats, prépare le budget, gère le patrimoine communal ;
  • il exerce des compétences déléguées par le conseil municipal et doit alors lui rendre compte de ses actes. Les délégations portent sur des domaines très divers (affectation des propriétés communales, réalisation des emprunts, création de classes dans les écoles, action en justice…) et sont révocables à tout moment. La loi relative aux libertés et responsabilités locales autorise le maire à subdéléguer, à un adjoint ou un conseiller municipal, les attributions qui lui ont été confiées par délégation ;
  • le maire est titulaire de pouvoirs propres. En matière de police administrative, il est chargé de maintenir l’ordre public, défini dans le code général des collectivités territoriales (CGCT) comme le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques. Il s’agit également de polices spéciales (baignade, circulation…).

 

3 septembre 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/09/84d7d84f-2c9d-4cc5-ac0a-aa4a87d360ba.jpg 720 1280 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-09-03 11:00:312021-09-03 11:00:31Le Maire et ses Attributions

Finances Locales: Le fonds de dotation de la décentralisation

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Le Code général des Collectivités territoriales prévoit, en son article 4, que « tout transfert de compétence à une collectivité doit être accompagné du transfert concomitant par l’Etat à celle-ci, des ressources et moyens nécessaires à l’exercice normal de cette compétence ».

En effet, le transfert de ressources financières, matérielles et humaines nécessaires à l’accomplissement des missions assignées aux collectivités territoriales est ainsi rendu obligatoire par la loi.  Le fonds de dotation ne saurait par conséquent être assimilable à un concours ou une subvention de l’Etat. Sa détermination et son transfert obéit à des critères fixés par décret.

Le fonds de dotation de la décentralisation reçoit, selon la loi, une dotation équivalant à 3,5% de la taxe sur la valeur ajoutée perçue au profit du budget de l’Etat de la dernière année connue. Signalons que ce pourcentage doit être modifié dans le sens d’une hausse progressive, à chaque fois que de besoin, compte tenu des compétences des collectivités territoriales. Les dotations allouées aux départements, aux villes et aux communes leur sont affectées globalement.

En tout état de cause, les ressources attribuées au fonds de dotation de la décentralisation doivent être au moins équivalentes aux dépenses effectuées par l’Etat, pendant l’année précédant la date de transfert des compétences.

Le Fonds de dotation de la décentralisation doit jouer sa véritable vocation à savoir :

  • Servir de compensation aux charges résultant du transfert de compétences ;
  • Doter les régions de moyens financiers nécessaires au fonctionnement de leurs organes et services propres ;
  • Doter les Agences régionales de Développement de ressources nécessaires à leur fonctionnement ;
  • Prendre en charge les indemnités de fonction des Maires, Présidents et Vice-Présidents de Conseil rural ;
  • Assurer aux services de l’Etat les moyens d’accomplir les missions que leur confient les Collectivités locales.

La mise en place du fonds de dotation de la décentralisation est la conséquence financière du processus de transfert de compétences de l’Etat aux collectivités territoriales.

 

2 septembre 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/09/194757116_1707597926109232_687218757072440959_n-1.jpg 1030 1030 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-09-02 11:53:462021-09-02 11:53:46Finances Locales: Le fonds de dotation de la décentralisation

Inondations : les élus locaux invités à soutenir les sinistrés

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Selon un média public, le ministre de la Gouvernance territoriale, du Développement et de l’Aménagement du territoire, Oumar Guèye, a exhorté,  les collectivités territoriales à apporter leur soutien aux populations impactées par les inondations.

‘’Nous avons vu les efforts du chef de l’État pour secourir les sinistrés et nous devons tous nous engager. C’est pourquoi nous exhortons, les maires, les présidents de Conseil départemental, ainsi que les élus à aider les sinistrés’’, a-t-il indiqué.

M. Guèye, également maire de Sangalkam, remettait du matériel de pompage dans le cadre de la lutte contre les inondations nées des fortes pluies tombées ces derniers jours à Dakar et dans d’autres localités du Sénégal.

Il a notammant mis à la disposition des populations de la commune qu’il administre, cinq motopompes capables d’évacuer 80 mètres cube à l’heure et 10 électropompes pour intervenir dans les concessions.

Il en a profité pour inviter les usagers à une gestion utile et efficace de ces équipements appartenant à toute la commune de Sangalkam.

Oumar Guèye a également demandé aux autorités locales d’utiliser ce matériel d’évacuation des eaux partout, où l’urgence se fera sentir.

Le gouvernement a déclenché samedi le Plan national d’ organisation des secours (ORSEC) pour lutter contre les inondations dont beaucoup de quartiers de la région de Dakar sont victimes à la suite de fortes pluies enregistrées cette semaine.

25 août 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/08/images.jpg 168 300 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-08-25 11:03:032021-08-25 11:03:03Inondations : les élus locaux invités à soutenir les sinistrés

Madame Gass Ndiaye, jeune développeur économique territorial (JDET), spécialisée en communication territoriale et rattachée à la commune de Dahra

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Madame Gass NDIAYE est une jeune développeuse économique territoriale (JDET), actuellement en phase de spécialisation dans les métiers du développement économique local, dans la commune de Dahra (LOUGA), partenaire de l’Association Sénégalaise d’Appui à la Décentralisation et aux Initiatives Citoyennes (ASADIC-TAATAAN).

Gass a obtenu un baccalauréat en série S2 au centre de Pikine. Mais elle est également diplômée  d’une licence en analyse et politiques économiques et d’un master2 en économie rurale, à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), d’où le choix de son  thème de mémoire ‘’analyse de la chaîne de valeur embouche ovine dans le domaine agricole communautaire de Keur Samba Kane’’.

Mme NDIAYE a aussi fait une formation sur l’importance écologique et les enjeux de la protection des habitats marins de la mangrove à Joal-Fadiouth, en plus d’une autre concernant l’introduction sur le développement humain centré sur les ressources communautaires à l’ONG Corps Arica Sénégal. Elle a aussi effectué une formation en secourisme avec la croix rouge sénégalaise.

Mme Gass NDIAYE fut également volontaire Chargée de projet communautaire à l’ONG corps Arica Sénégal dans le village de Ndiayene Khaly à Linguère, où elle a pu participer à un projet d’identification des besoins communautaires ainsi qu’à une formation en saponification, javellisation et savon des femmes du GPF (groupement professionnel féminin).

La JDET, de par ses compétences a aidé à la formalisation et à l’autonomisation des femmes du GPF de Ndiayene khaly, dans un projet de  transformation de fruits et légumes au niveau de l’ONG TARRU ASKAN WI à Mbodiene.

 

Soucieuse de développer ses capacités d’intervention et de contribuer à l’effort de développement économique des territoires, Mme NDIAYE a effectué des stages pratiques :

 

  • Dans l’animation de la chaine de valeur dans le cadre du projet de désenclavement des zones de productions (PNDL/PDZP) ;
  • En tant qu’assistante de direction et comptable à l’école ARRIHAB de Keur Mbaye Fall ;
  • Pour un appui et suivi du projet embouche ovine financé par le FNRAA et le COFINA dans le domaine agricole communautaire de Keur Samba Kane ;
  • Sur les projets embouches bovines, avicultures financés par le FNRAA et le COFINA dans le domaine agricole communautaire de Keur Samba Kane ;
  • Dans le domaine agricole, sur la campagne agricole 2017 financé par la SONACOS à Keur Samba Kane ;

 

Après ce parcours riche en expériences, Mme Gass Ndiaye s’est engagée depuis 2019 dans un parcours de professionnalisation en animation des collectivités territoriales dans la commune de Dahra grâce au programme de formation intitulé ‘’jeune développeur économique territorial’’ (JDET), initié par ASADIC-TAATAAN.

Le programme JDET vise le renforcement des capacités des collectivités territoriales, en mettant à leur disposition des jeunes diplômés dans les métiers du développement économique territorial. Il s’inscrit également dans l’optique d’apporter une contribution à la problématique de l’emploi des jeunes au Sénégal.

En sa qualité de spécialiste en communication territoriale dans ce dit programme, après une première phase de professionnalisation, la jeune développeuse a pu grâce à un diagnostic territorial effectué dans la commune de Dahra, identifier, avec ses camarades JDET, les problèmes liés dans l’administration communale. Présentement, elle détient, affirme t-elle, les outils nécessaires pour apporter son soutien technique à l’amélioration de la communication de l’institution communale.

Elle a également participé, sous l’impulsion de l’animateur économique référent (AER) du bureau économique local (BEL), M. Mor NIANG, à la rencontre avec le maire et les délégués de quartier lors d’une réunion pour la collecte d’impôt dans la commune de Dahra. En outre, Mme NDIAYE maîtrise les outils technologiques de bases (QGIS, Mapsource, Dropbox, GPS et tableaux dynamiques croises).

Enfin Mme Gass Ndiaye est engagée à apporter sa touche personnelle dans l’émergence économique des collectivités territoriales.

 

 

 

 

 

 

 

 

17 août 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/08/Gass.jpg 554 793 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-08-17 13:35:092021-08-17 13:35:09Madame Gass Ndiaye, jeune développeur économique territorial (JDET), spécialisée en communication territoriale et rattachée à la commune de Dahra

Session introductive à la phase de spécialisation des jeunes développeurs économiques territoriaux, aux métiers émergents du développement économique territorial, à l’arène nationale de Dakar

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La mise en place d’un cadre propice à la création et à l’ancrage de richesses dans les territoires constitue aujourd’hui un défi à relever par les collectivités territoriales afin d’amorcer le virage économique de la politique de décentralisation en Afrique.

Au Sénégal, l’Association Sénégalaise d’Appui à la Décentralisation et aux Initiatives Citoyennes (ASADIC-TAATAAN) s’évertue depuis 2016 à développer des approches innovantes et alternatives de création et de développement de dynamiques économiques endogènes centrées sur l’insertion et l’automatisation économiques des jeunes et des femmes notamment.

A cet effet, ASADIC-TAATAAN, après une première évaluation à mi-parcours de la formation des jeunes développeurs économiques territoriaux en  Juin 2021, a lancé la phase de spécialisation d’une cinquantaine (50) de jeunes dans les métiers émergents du développement économique territorial.

L’objectif  de la session  introductive aux spécialités est de doter les jeunes développeurs économiques territoriaux (JDET) de connaissances et d’outils nécessaires à l’accompagnement des multiples initiatives locales endogènes afin de les canaliser vers le développement économique local des collectivités territoriales.

Durant trois journées d’échange et d’apprentissage, les jeunes développeurs économiques territoriaux ont pu s’approprier des concepts de base des métiers liés à l’appui au développement économique territorial et à la valorisation des dynamiques permettant d’asseoir le virage économique de la décentralisation.

Cette session introductive à la phase de spécialisation des JDET est axée sur la préparation à l’application des enseignements reçus sur le terrain, à savoir dans les neuf (09) communes partenaires abritant un Bureau économique local (BEL).

Les choix de spécialités des JDET ont porté sur l’animation économique locale, le financement du développement territorial, la gestion et l’exploitation du patrimoine et des services publics locaux et la communication territoriale.

De l’avis des JDET, la session a permis une meilleure compréhension des concepts de base de leurs spécialisations, une meilleure maîtrise des objectifs d’apprentissage liés à leurs spécialisations. Au retour dans leurs communes d’accueil, les jeunes développeurs économiques territoriaux se considèrent capables de faire émerger des solutions et initiatives répondant aux besoins des territoires, et enfin pouvoir exploiter et/ou développer des outils d’analyse et de rédaction des documents de stratégies liés à leur domaine d’activité.

Enfin, les facilitateurs de ce programme de formation ont exhorté les jeunes développeurs à s’impliquer davantage auprès des acteurs territoriaux  et à relever le défi d’une gestion moderne et efficace des économies locales.

13 août 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/08/IMG_9585-scaled.jpg 1707 2560 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-08-13 15:12:532021-08-13 15:13:35Session introductive à la phase de spécialisation des jeunes développeurs économiques territoriaux, aux métiers émergents du développement économique territorial, à l’arène nationale de Dakar

Session introductive à la phase de spécialisation des jeunes développeurs économiques territoriaux (JDET), du 10 au 12 Août 2021 à l’arène nationale de Dakar

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Nos collectivités territoriales regorgent de jeunes diplômés de l’enseignement supérieur qui peinent à d’insérer dans le marché de l’emploi.

Ainsi, l’Association Sénégalaise d’Appui à la Décentralisation aux Initiatives Citoyennes (ASADIC-TAATAAN), dans sa mission d’accompagner les collectivités territoriales dans leur développement local, s’est inscrit dans une démarche de consolider l’action publique par son ancrage solide dans les territoires articulés aux spécificités et aux dynamiques locales.

Cela s’est traduit concrètement par la mise en place dans neuf (9) communes partenaires, de la phase expérimentale du programme des ‘’jeunes développeurs économiques territoriaux’’ (JDET). Ce programme promeut les métiers émergents du développement territorial. Il intervient dans un contexte de raréfaction des ressources humaines de qualité dans les collectivités territoriales sénégalaises et de difficultés d’insertion des jeunes.

En collaboration avec les exécutifs locaux des communes partenaires, ASADIC-TAATAAN propose  aux jeunes diplômés des parcours de professionnalisation afin de leur permettre de participer activement au développement des territoires.

Cela s’est matérialisé par la tenue, durant trois (3) jours, à l’arène nationale de Dakar,  d’une session introductive à la phase de spécialisation dans quatre domaines qui ouvrent à des métiers en lien avec l’animation économique locale, la gestion du patrimoine communal, le financement du développement local et la communication territoriale.

L’objectif général de ces rencontres  est d’accompagner les JDET à apporter leur pierre à l’édifice dans le développement économique local des collectivités territoriales. En outre, la phase de spécialisation permet aux futurs professionnels de proposer des initiatives et des solutions adaptées aux problèmes détectés lors des diagnostics économiques territoriaux.

La première journée a marqué l’ouverture officielle de la session et était axée sur la mise à niveau et la répartition des travaux de groupe, pour permettre la présentation des cours introductifs par des praticiens chevronnés du développement territorial.

En dehors des JDET et des formateurs, participent à cette session l’ensemble des animateurs économiques référents (AER) des Bureaux économiques locaux (BEL) des communes partenaires que sont Gandiaye, Louga, Dahra, Guéoul, Bagadadji, Pata, Médina Yoro Foulah, Pikine Est et Guinaw rail sud.

 

 

 

 

11 août 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/08/IMG_9581-1-scaled.jpg 1707 2560 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-08-11 11:58:422021-08-11 12:01:05Session introductive à la phase de spécialisation des jeunes développeurs économiques territoriaux (JDET), du 10 au 12 Août 2021 à l’arène nationale de Dakar

L’Élu Local: Quel profil?

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Élus dans le but d’agir pour l’intérêt local, les conseillers municipaux et départementaux représentent les citoyens dans la gestion publique des affaires locales.

Issu du suffrage universel, l’élu local est et reste responsable de ses actes pour la durée de son mandat qui est de cinq (5) ans, devant l’ensemble des citoyens de la collectivité territoriale, à qui il rend compte des actes et décisions pris dans le cadre de ses fonctions.

Selon une réflexion intelligente, ‘’ la vision d’un élu c’est sa capacité à bâtir un projet, avoir envie de servir un territoire qui nous a rendu des services bien souvent’’.

Dans le système sénégalais, en théorie, l’élu local dispose d’un pouvoir, puisqu’il agit au nom et représente l’ensemble de sa collectivité (au sens regroupement de populations), même s’il ne peut être révoqué par cette dernière.

En effet, pour exercer leurs missions, les élus locaux bénéficient notamment d’une indemnité, d’une protection sociale et d’un droit à la formation.

Il existe ainsi une charte qui décline les obligations des élus locaux :

  • L’élu local exerce ses fonctions avec impartialité, diligence, dignité, probité et intégrité ;
  • Dans l’exercice de son mandat, l’élu local poursuit le seul intérêt général, à l’exclusion de tout intérêt qui lui soit personnel, directement ou indirectement, ou de tout autre intérêt particulier ;
  • Il veille à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Lorsque ses intérêts personnels sont en cause dans les affaires soumises à l’organe délibérant dont il est membre, l’élu local s’engage à les faire connaître avant le débat et le vote ;
  • L’élu local s’engage à ne pas utiliser les ressources et les moyens mis à sa disposition pour l’exercice de son mandat ou de ses fonctions à d’autres fins ;
  • Dans l’exercice de ses fonctions, l’élu local s’abstient de prendre des mesures lui accordant un avantage personnel ou professionnel futur après la cessation de son mandat et de ses fonctions ;
  • Il participe également avec assiduité aux réunions de l’organe délibérant et des instances au sein desquelles il a été désigné.

Cependant, les élus locaux ont également des droits principaux qui leurs sont attribués au cours de leur mandat :

  • Ils doivent bénéficier d’une formation adéquate nécessaire à l’exercice de leurs fonctions;
  • A l’exception des fonctionnaires détachés sur un mandat électif, ils sont affiliés au régime général de la sécurité sociale ;
  • Ont droit à un remboursement des frais occasionnés par l’exercice de leur mandat, notamment les élus départementaux pour se rendre aux réunions de l’assemblée ou des organismes dans lesquels ils représentent la collectivité ;
  • Un droit à la réintégration des maires et des adjoints dans leur emploi précédent à l’expiration de leur mandat ;

 

 

9 août 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/08/0001-5614539236_20210809_112601_1.jpg 478 678 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-08-09 12:20:432021-08-09 12:20:43L’Élu Local: Quel profil?

Session de formation introductive de la phase de spécialisation des jeunes développeurs économiques territoriaux (JDET), du 10 au 12 Août 2021.

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Au Sénégal, face à la problématique de l’emploi des jeunes, améliorer l’employabilité et favoriser leur insertion professionnelle devient une priorité pour les autorités gouvernementales.

Pour contribuer à cette démarche, l’Association Sénégalaise d’Appui à la Décentralisation et aux Initiatives Citoyennes (ASADIC-TAATAAN) a mis en place depuis 2019 un programme dénommé ‘’jeune développeur économique territorial’’ (JDET).

Ce présent programme vise le renforcement des capacités des collectivités territoriales, en mettant à leur disposition des jeunes diplômés dans des métiers du développement économique territorial.

Après la première partie du parcours de professionnalisation des JDET qui a été centrée sur l’immersion et la mise à niveau en tronc commun, ASADIC-TAATAAN organise une session de formation introductive de la phase de spécialisation, du 10 au 12 Août 2021, à l’Arène nationale de Dakar.

L’objectif général de cette présente session est d’accompagner la spécialisation des jeunes développeurs économiques territoriaux afin qu’ils puissent proposer des initiatives et des solutions adaptées aux problèmes détectés lors des diagnostics économiques territoriaux.

Ainsi, en rapport au choix de spécialisation effectué par chacun des JDET, il s’avère pertinent de les doter d’une formation théorique approfondie qui sera suivie d’une formation pratique sur le terrain aboutissant à des livrables qui seront mis à la disposition des collectivités territoriales partenaires.

Les différentes spécialisations retenues dans le cadre de la première promotion portent sur les domaines englobant les métiers ci-après :

  • Chargé d’affaires économiques locales,
  • Chargé des finances locales,
  • Chargé de la gestion du Patrimoine, l’exploitation des services et le Partenariat Public Privé (PPP),
  • Chargé de la Communication et du marketing des territoires.

 

 

6 août 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/08/famille.jpg 630 1080 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-08-06 11:01:252021-08-06 11:01:25Session de formation introductive de la phase de spécialisation des jeunes développeurs économiques territoriaux (JDET), du 10 au 12 Août 2021.

Le Contrôle Citoyen de l’Action Publique (CCAP)

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De par leur droit de regard sur la gestion des affaires locales les concernant, les citoyens ou les organisations de la société civile doivent mener des actions orientées vers le contrôle de l’action publique,  pour amener les gouvernements et les collectivités territoriales à leur rendre compte. Il s’agit ici du contrôle citoyen de l’action publique.

Le contrôle citoyen de l’action publique (CCAP) renvoie au processus qui vise à renforcer la performance des collectivités territoriales à travers un engagement civique et une participation active des citoyens afin d’instaurer une culture de la transparence et de l’inclusion, et d’amener les élus et les organes de gestion des collectivités territoriales à rendre compte de leurs décisions.

En effet, l’approche CCAP semble aller plus loin dans le renforcement de la participation des populations. Elle constitue une réelle opportunité pour une élaboration plus participative des politiques publiques de développement. Ce concept de responsabilité sociale renvoie à toutes les initiatives prises par la société civile pour contrôler l’action publique afin de susciter chez les autorités politiques et administratives un réflexe plus poussé de rendre compte. L’originalité de cette approche réside dans l’opportunité offerte aux populations de donner un avis sur les décisions touchant directement la gestion de la chose publique.
Cette approche essaie de développer des principes et des mécanismes tendant :

  • à renforcer les capacités des populations à participer, négocier et contrôler la gestion de la chose publique ;
  • à obliger les décideurs à rendre compte de leur gestion des affaires dont ils sont mandataires ;
  • à améliorer la performance des programmes grâce à une utilisation plus rationnelle des ressources et une meilleure identification des besoins et priorités.

Cependant, la transparence et l’accès équitable à l’information constituent des éléments clés du contrôle citoyen. La mise en place d’un système participatif efficient nécessite  au moins trois conditions :

  • Le contexte institutionnel global (voire constitutionnel) doit être favorable à une concrète expression des principes qui sous-tendent la participation ;
  • Les structures qui promeuvent la participation citoyenne doivent disposer de procédures et mécanismes internes qui permettent aux citoyens d’avoir une influence réelle sur les décisions prises ;
  • Les citoyens doivent disposer des aptitudes et capacités nécessaires pour influencer les décisions qui les concernent directement ;

En somme, les citoyens peuvent contrôler l’action publique à divers niveaux (de la base au sommet de la hiérarchie sociale). Le CCAP peut porter sur une multitude de questions (politiques, gouvernementales, conduite de politique, dépenses publiques, prestation de service, etc.), ou reposer sur diverses stratégies (recherche, suivi, planification participative, défense et promotion des droits, éducation, etc.)

Avec la promotion à l’échelle mondiale de la gouvernance participative et des données ouvertes, le contexte semble désormais propice pour un CCAP par une société civile plurielle qui peut compter sur une presse de plus en plus libre.

Le contrôle citoyen de l’action publique peut être un outil d’aide à la gouvernance. Tout dirigeant ou responsable soucieux d’un développement durable, devrait contribuer à sa promotion afin de bénéficier des compétences et observations des citoyens qui, ici, jouent beaucoup plus un rôle de partenaires que de gendarmes.

Gouverner, c’est planifier et réajuster en vue d’un meilleur résultat. Le CCAP est un moyen d’avoir un « feedback social » afin de réussir la gouvernance, au service de la population dans tout État démocratique. La synergie Etat-Société civile, résultat d’un CCAP efficace, restaure une image positive des institutions étatiques, une gouvernance plus efficace et une meilleure mobilisation citoyenne autour de l’État dans toutes ses dimensions.

3 août 2021/0 Commentaires/par Yacine SAMB
https://taataan.sn/wp-content/uploads/2021/08/co.jpg 763 1080 Yacine SAMB http://taataan.sn/wp-content/uploads/2018/11/logo-taatan.png Yacine SAMB2021-08-03 11:58:142021-08-03 11:58:14Le Contrôle Citoyen de l’Action Publique (CCAP)
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